« Le tribunal aurait en effet reconnu que le reverse engineering était une pratique légale, et que la diffusion d'un logiciel utilisant un protocole découvert de cette manière n'était pas illicite. Seule la diffusion d'une copie du logiciel étudié peut être condamnée. »
Bon, ouf, me voilà rassuré, les 2 hackeurs français vont pouvoir éviter les peines de 1 an de prison requis par le procureur, et la pratique est encore légale en France, contrairement aux USA …