Ça prête à rire, mais j’ai un gros malaise, derrière cette pensée et ce mouvement.
Dans cette dystopie, le travail n’asservit plus l’humain, mais l’humain asservit le travail, pour le bien être exacerbé d’une toute petite minorité. Nous n’y construisons pas un avenir où l’humain est considéré en tant qu’individu (sans entrer dans le nombrilisme), nous nous dirigeons ainsi vers un avenir où le « succès », dans sa définition irréaliste, est projeté sous forme d’exhibition, pour créer une société d’envieux.
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